Vous êtes dans une réflexion où vous vous demandez s’il est opportun d’envisager la vente d’un bien immobilier en viager ?
Il est logique de se poser la question pour savoir s’il y a un âge idéal pour lequel il faut envisager le viager, un âge pour lequel le bénéfice pour le vendeur ou pour l’acheteur serait optimal.
Dans tous les cas, sachez que nos conseillers sont disposés à vous accompagner pour vous apporter les réponses à toutes vos questions pour savoir à quel âge envisager le viager.
Plus que votre âge, c’est le moment du départ à la retraite qui va souvent constituer le premier point de réflexion de la gestion de votre bien.
En effet, lors de la retraite, les revenus peuvent baisser de manière importante et l’allongement de durée de la vie vous amène à réfléchir sur les choix à opérer pour organiser avec sérénité votre cadre de vie à venir.
Souvent attaché à votre bien, vous êtes cependant moins certain de pouvoir continuer à assumer les charges quotidiennes et les travaux exceptionnels, et envisager de déménager peut parfois créer un traumatisme.
C’est l’envie de rester vivre dans votre bien qui va naturellement vous amener à la question du viager, puisque ce système de contrat permet la séparation du bien entre la pleine propriété et le Droit d’Usage et d’Habitation (DUH).
Conserver le Droit d’Usage et d’Habitation (DUH) vous permet donc de rester vivre dans votre bien sans avoir à supporter les charges conséquentes des travaux, et surtout vous apporte un capital immédiat, qui vient compenser la diminution des revenus.
Une vente en viager classique engage un acheteur et un vendeur (le débirentier et le crédirentier) pour l’achat d’un bien immobilier avec le paiement d’un capital instantané (le bouquet) auquel s’ajoute une rente mensuelle versée par l’acheteur au vendeur jusqu’à son décès.
L’âge du vendeur va être déterminant pour calculer le bouquet du bien immobilier et de la rente viagère.
En règle générale, plus le vendeur est âgé, plus le bouquet et la rente viagère sont élevés. C’est assez logique puisque le nombre d’années de vie restant d’un vendeur âgé est théoriquement moindre comparativement à un vendeur plus jeune. Ainsi, si vous vendez un bien en viager à 60 ans, la rente viagère sera naturellement plus faible que si vous vendez votre bien à l’âge de 85 ans.
Mais pour l’acheteur particulier, s’aventurer sur des durées d’engagement élevées reste un frein, et pour vous il est parfaitement compréhensible que ce discours autour de votre âge puisse se révéler traumatisant.
Devant l’allongement de la durée de vie, et le souhait d’offrir plus de sérénité dans ces étapes clés de la vie d’un sénior, nous avons mis en place une formule innovante.
Comme dans le viager traditionnel, vous conservez le Droit d’Usage et d’Habitation (DUH) et donc la possibilité de rester vivre dans votre bien, mais la mutualisation permet de surmonter enfin ce frein lié à votre âge et aux aléas de la durée de vie.
Quel que soit votre âge, nos conseillers se tiennent à votre disposition pour vous aider à réfléchir à votre projet de vie de sénior.